JEAN-LOUIS FEL, né le 3 décembre 1956. Grand reporter depuis 1988.
Plus de trente ans à parcourir la planète d’est en ouest et du nord au sud. Dont vingt au service de la rédaction du journal l’Équipe.
Couvrant une large palette d’événements, aussi singuliers qu’éclectiques allant d’un reportage sur le président tchétchène Djokhar Doudaïev en 1994, à plusieurs jeux Olympiques en passant par des commandes pour des fondations environnementales.
Tout un univers vivant et rapide, chargé d’émotions immédiates, d’instantanés partagés.
Ce photojournaliste à la vision haute en couleur, reflétant le sentiment de “merveilleux”, s’exprime avec une précision esthétique et technique, dans l’infini du jeu des ombres et lumières.
Ce voyageur perpétuel a su préserver sa signature en nourrissant toujours et encore ses recherches personnelles en noir et blanc, subtiles et profondes. Des nuances de gris infinies donnant accès à toutes les gammes de valeurs.
Enfant des montagnes, il se passionne pour ses deux univers de prédilection : l’art et la nature. À Paris, il écume les musées, surtout Le Louvre. Seul le plus souvent. Modigliani et Egon Schiele sont “ses” peintres ; Camille Claudel, sa référence sculpture. Côté nature, c’est en Savoie, dans le massif des Bauges (Annecy, Aix-les- Bains), qu’il court le chamois et le mouflon dès ses très jeunes années. Depuis il n’a cessé d’être en contact direct et rapproché avec la faune sauvage et la nature sur tous les continents.
Après ses études, il découvre la photographie professionnelle avec son oncle, photographe de renom, en devenant son assistant, découvrant et rencontrant ainsi les plus grands : Sieff, Bourdin, Newton, Penn et d’autres.
Il lit les textes d’Henri Cartier – Bresson qui décrivent ce que son art doit à la peinture. Tout ce qu’il ressent lui-même si profondément. L’oeil et l’esprit affûtés par la connaissance du terrain et la lecture des modes de vie… Les fameuses notions d’“instant décisif” et de “tir photographique”...
Aujourd’hui son travail a pris une direction infléchie par les yeux et par le cœur et qui va dans le sens de la conservation des espèces animales et de l’environnement en général. Avec, bien naturellement, une mise en valeur de la protection de cette faune aussi forte que fragile, de la préservation des milieux naturels où elle évolue, et aussi de la coexistence entre l’homme et la vie sauvage.
Depuis 2016, de retour dans sa vallée, les Bauges, son travail est consacré à toutes les composantes de l’environnement. Fort de ses milliers d’heures d’observation de la nature depuis des décennies, il ne peut que constater et déplorer sa dégradation.
Ses recherches, son expertise, ses observations pragmatiques et empiriques montrent à quel point les activités humaines ont un impact fort et insidieux sur les milieux naturels et sur la faune sauvage.
Réchauffement climatique, tourisme de masse, consumérisme, certains types d’agriculture et d’élevage ont des répercussions visibles et engendrent une modification significative de la nature et de certains comportements de la faune.
Ce témoignage photographique engagé qu’il essaye de suivre comme un fil s’est déjà traduit en noir et blanc ou en couleur, suivant son impression du moment.
Il n’a d’autre but, malgré tout, que de montrer l’infinie beauté de la nature.
Sa splendeur, sa grâce et sa somptuosité.
Plus de trente ans à parcourir la planète d’est en ouest et du nord au sud. Dont vingt au service de la rédaction du journal l’Équipe.
Couvrant une large palette d’événements, aussi singuliers qu’éclectiques allant d’un reportage sur le président tchétchène Djokhar Doudaïev en 1994, à plusieurs jeux Olympiques en passant par des commandes pour des fondations environnementales.
Tout un univers vivant et rapide, chargé d’émotions immédiates, d’instantanés partagés.
Ce photojournaliste à la vision haute en couleur, reflétant le sentiment de “merveilleux”, s’exprime avec une précision esthétique et technique, dans l’infini du jeu des ombres et lumières.
Ce voyageur perpétuel a su préserver sa signature en nourrissant toujours et encore ses recherches personnelles en noir et blanc, subtiles et profondes. Des nuances de gris infinies donnant accès à toutes les gammes de valeurs.
Enfant des montagnes, il se passionne pour ses deux univers de prédilection : l’art et la nature. À Paris, il écume les musées, surtout Le Louvre. Seul le plus souvent. Modigliani et Egon Schiele sont “ses” peintres ; Camille Claudel, sa référence sculpture. Côté nature, c’est en Savoie, dans le massif des Bauges (Annecy, Aix-les- Bains), qu’il court le chamois et le mouflon dès ses très jeunes années. Depuis il n’a cessé d’être en contact direct et rapproché avec la faune sauvage et la nature sur tous les continents.
Après ses études, il découvre la photographie professionnelle avec son oncle, photographe de renom, en devenant son assistant, découvrant et rencontrant ainsi les plus grands : Sieff, Bourdin, Newton, Penn et d’autres.
Il lit les textes d’Henri Cartier – Bresson qui décrivent ce que son art doit à la peinture. Tout ce qu’il ressent lui-même si profondément. L’oeil et l’esprit affûtés par la connaissance du terrain et la lecture des modes de vie… Les fameuses notions d’“instant décisif” et de “tir photographique”...
Aujourd’hui son travail a pris une direction infléchie par les yeux et par le cœur et qui va dans le sens de la conservation des espèces animales et de l’environnement en général. Avec, bien naturellement, une mise en valeur de la protection de cette faune aussi forte que fragile, de la préservation des milieux naturels où elle évolue, et aussi de la coexistence entre l’homme et la vie sauvage.
Depuis 2016, de retour dans sa vallée, les Bauges, son travail est consacré à toutes les composantes de l’environnement. Fort de ses milliers d’heures d’observation de la nature depuis des décennies, il ne peut que constater et déplorer sa dégradation.
Ses recherches, son expertise, ses observations pragmatiques et empiriques montrent à quel point les activités humaines ont un impact fort et insidieux sur les milieux naturels et sur la faune sauvage.
Réchauffement climatique, tourisme de masse, consumérisme, certains types d’agriculture et d’élevage ont des répercussions visibles et engendrent une modification significative de la nature et de certains comportements de la faune.
Ce témoignage photographique engagé qu’il essaye de suivre comme un fil s’est déjà traduit en noir et blanc ou en couleur, suivant son impression du moment.
Il n’a d’autre but, malgré tout, que de montrer l’infinie beauté de la nature.
Sa splendeur, sa grâce et sa somptuosité.